Lauréate 2024 – Violaine Llaurens, DR (CNRS, CIRB & ISYEB, Paris & Université des Antilles),

pour souligner ses recherches dans le domaine de l’évolution biologique et notamment sur l’émergence et le maintien de variations phénotypiques au sein des populations naturelles sur des organismes variés, des plantes aux animaux. Ses travaux qui vont de la génomique des populations à l’écologie incluent notamment l’expérimentation en laboratoire et sur le terrain et la modélisation, et permettent d’établir des liens entre micro et macro-évolution. Ce prix nous permet également de mettre en évidence sa contribution au collectif, comme par exemple sa participation réitérée au Comité national de la recherche scientifique en section 29.

 

Lauréate 2024 – Virginie Maris, DR (CEFE, Montpellier),

pour souligner ses recherches dans le domaine de la philosophie et de l’éthique de la biodiversité, de l’écologie et des sciences de la conservation, avec une approche pragmatique de la philosophie qui a largement contribué, au niveau national et international, au dialogue interdisciplinaire autour de l’objet « biodiversité ».  Ce prix permet également de mettre en évidence sa grande contribution à la réflexion sur les valeurs de la biodiversité ou encore sur la conservation de la biodiversité via le prisme des services écosystémiques. Pleinement investie dans des collectifs et instances de recherche, nous souhaitons également mentionner la volonté de Virginie à mettre son savoir et ses convictions au service de la cité.

 

Lauréate 2023 – Sonia Kéfi, DR (ISEM, Montpellier),

pour souligner ses recherches en écologie des réseaux d’interactions visant tout particulièrement la détermination de leurs propriétés de stabilité et de résilience ainsi que son approche originale combinant des approches théoriques et empiriques, approche permettant de caractériser et de modéliser des réseaux d’interactions de différentes natures. Ce prix nous permet également de mettre l’accent sur son engagement pour l’éducation et la transmission des connaissances auprès du jeune public.

 

Lauréat 2022 – Nicolas Loeuille (Sorbonne Université – iEES),

pour ses travaux sur le rôle des traits de dispersion des espèces végétales sur la structuration des assemblages de plantes à différentes échelles, et plus récemment le rôle de ces communautés sur les assemblages de champignons mycorhiziens.

Primer C. Mony est également reconnaître l’importance des travaux des enseignants-chercheurs dans le paysage de la recherche française.

Lauréate 2021 – Emmanuelle Porcher (CESCO-MNHN),

pour ses travaux de recherche menés successivement sur l’évolution des systèmes de reproduction des plantes puis sur les relations agriculture/biodiversité (relation plantes-pollinisateurs et impact des changements environnementaux sur les communautés de plantes).

Ce prix récompense également son investissement sans relâche dans l’enseignement et les sciences participatives au Muséum ainsi que pour la gestion dynamique et bienveillante de son laboratoire

Lauréate 2020 – Cendrine Mony (UMR CNRS 6553, Université de Rennes),

pour ses travaux sur le rôle des traits de dispersion des espèces végétales sur la structuration des assemblages de plantes à différentes échelles, et plus récemment le rôle de ces communautés sur les assemblages de champignons mycorhiziens.

Primer C. Mony est également reconnaître l’importance des travaux des enseignants-chercheurs dans le paysage de la recherche française.

Lauréate 2019 – Isabelle Chuine (CEFE, Montpellier)

Lauréat 2018 – Wilfried Thuiller (LECA, Grenoble)

Lauréate 2017 – Tatiana Giraud (ESE, Paris)

Lauréate 2016 – Elisa Thébault (iEES, Paris)

Lauréat 2015 – Aurélien Besnard (CEFE, Montpellier)

Lauréat 2014 – Jean-Francois Le Gaillard (iEES, Paris)

Lauréat 2013 – Stephan Hättenschwiler (CEFE, Montpellier)